Biographie
Louise Caroline vit à présent en Provence, sa région d’origine. Sa vie se décline en une série de rencontres déterminantes : la rencontre de deux familles d’abord qui la prédisposait sans doute à tisser un jour sa propre toile, fruit de l’alliance entre des parents proches imprimeurs et des ancêtres drapiers de la région niçoise, puis une rencontre intellectuelle avec les géants de l’art, que ce soit à New York, Londres ou Paris où elle a vécu plusieurs années, et enfin une rencontre cette fois sensorielle, à l’occasion de ses voyages de découverte sur quatre continents.
C’est à Londres, à Goldsmith’s College, que Louise Caroline s’engage sur la voie de la créativité visuelle en s’exerçant à diverses pratiques artistiques (mise en scène, photographie, et une initiation à la sérigraphie). Depuis, les différentes cultures du monde dans lesquelles elle ne cesse de se plonger nourrissent son appétit pour les formes d’expression capables de traduire son expérience du réel et les troubles qu’elle suscite.
Chez Louise Caroline, nourrie de rock, de jazz, et de blues tout comme de symphonies, la musique rythme les toiles, autant que les souvenirs puissants de la littérature qu’elle dévorait enfant. L’amour sensuel qu’elle voue à la sculpture, peut-être sa toute première source d’inspiration, la pousse à dompter les couleurs et les formes qui peuplent les étoffes et à leur donner corps, jusqu’à parfois atteindre l’inconscient avec une logique infaillible.
C’est à Londres, à Goldsmith’s College, que Louise Caroline s’engage sur la voie de la créativité visuelle en s’exerçant à diverses pratiques artistiques (mise en scène, photographie, et une initiation à la sérigraphie). Depuis, les différentes cultures du monde dans lesquelles elle ne cesse de se plonger nourrissent son appétit pour les formes d’expression capables de traduire son expérience du réel et les troubles qu’elle suscite.
Chez Louise Caroline, nourrie de rock, de jazz, et de blues tout comme de symphonies, la musique rythme les toiles, autant que les souvenirs puissants de la littérature qu’elle dévorait enfant. L’amour sensuel qu’elle voue à la sculpture, peut-être sa toute première source d’inspiration, la pousse à dompter les couleurs et les formes qui peuplent les étoffes et à leur donner corps, jusqu’à parfois atteindre l’inconscient avec une logique infaillible.