Julien Giovannoni, « Louise Caroline », La Salamandre d’Axolotl, n° 8, novembre 2014 :
« Un grand tissu montrait l’espace infini, les confins de l’univers qui se dessinaient devant moi. Cet espace lointain, faisait défiler tantôt du vide et tantôt des immensités vaporeuses comme lorsque l’on appuie fermement sur ses yeux et que la pression sur la rétine où l’iris nous offre d’étranges apparitions. Un noir d’encre comme une couche pâteuse sur lequel apparaissaient des points très lumineux qui scintillaient, qui tournoyaient et semblaient se déplacer à la vitesse d’un éclair. Puis ces points lumineux au nombre incalculable semblaient s’étaler sur le noir, formant des sortes de nuages ou de halos aux formes géométriques incroyables. Comme autant de galaxies que l’on traverse, qui s’effacent aussi rapidement qu’elles sont apparues, leurs couleurs variant du damier noir et blanc au rosâtre, verdâtre, jaunâtre, comme un mélange infini de couleurs que notre cerveau n’arrive plus à analyser. »
http://juliengio.wix.com/salamandre-daxolotl
« Un grand tissu montrait l’espace infini, les confins de l’univers qui se dessinaient devant moi. Cet espace lointain, faisait défiler tantôt du vide et tantôt des immensités vaporeuses comme lorsque l’on appuie fermement sur ses yeux et que la pression sur la rétine où l’iris nous offre d’étranges apparitions. Un noir d’encre comme une couche pâteuse sur lequel apparaissaient des points très lumineux qui scintillaient, qui tournoyaient et semblaient se déplacer à la vitesse d’un éclair. Puis ces points lumineux au nombre incalculable semblaient s’étaler sur le noir, formant des sortes de nuages ou de halos aux formes géométriques incroyables. Comme autant de galaxies que l’on traverse, qui s’effacent aussi rapidement qu’elles sont apparues, leurs couleurs variant du damier noir et blanc au rosâtre, verdâtre, jaunâtre, comme un mélange infini de couleurs que notre cerveau n’arrive plus à analyser. »
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